1. La chronologie
     Le premier jour    Le deuxième jour    Le troisième jour    Le quatrième jour  

2. Les slogans

3. Les victimes

4. Les reactions
     Position des Nations Unies    Qatar    Egypte    Arabie saoudite  

5. References

6. Les Manifestations Soudanaises de 19 Décembre 2018

Les manifestations soudanaises sont une série de protestations qui commençait au 19 décembre 2018 à Atbara (au nord du pays), et après elle se sont poursuites dans des différentes villes soudanaises à cause de la hausse des prix, la vie chère, et d’ailleurs la détérioration de la situation du pays en général.

Des manifestations ont déclenché au 19 décembre a Atbara au nord du pays, mais de plus en plus elles se sont généralisées a des autres villes soudanaises aux jours suivants : a Port-Soudan et Al Gedaref à l’est du Soudan, Dongola, Karima au nord du pays, El-Obeïd au nord du Kordofan et à Khartoum aussi. Des bâtiments du parti au pouvoir et le parti du congrès national ont été incendies.^[1]. Ces manifestations ont été affrontées par une réaction très violente par les autorités qui a utilisé des différents moyens pour disperser les manifestants comme le gaz lacrymogène et des balles infligées et caoutchouc. Il y avait des villes qui sont expérimenté des balles directes par les forces des sécurités en résultant des dizaines des morts et des blesse parmi les manifestants.

La chronologie

Le premier jour

Les manifestations commençaient spontanément quand des centaines des citoyens soudanais à Atbara se sont ressemblé pour exprimer leur colère contre l’augmentation des prix des produits principaux comme le pain qui a multiplié par trois. Et la pénurie des denrées alimentaires dans quelques villes soudanaises, et la baisse de livre soudanaise face au dollar américain ^[4]. Apres juste quelques heures qu’elles déclenchaient, les force de sécurité ont entourées les manifestants et ont essayé de leur empêcher d’arriver aux lieux sensibles du pays. Mais les manifestations ont converti à la violence car les protestataires ont mis en feu les bâtiments du parti au pouvoir en demandant le départ de Al-Bashir qui a régné le pays depuis 1989 a grâce au coup d’état militaire.

En tout début, les forces de sécurités ont utilisé le gaz lacrymogène afin de disperser les manifestants, mais dans des autres villes, il y avait une vraie utilisation de balle qui a abouti en morts et blessure des dizaines des manifestants sans aucune proclamation officielle de l’état.

Le deuxième jour

Des centaines des citoyens soudanais sont descendus dans les rues dans des différentes villes soudanaises en répondant les appels des jeunes soudanais pour rejoindre un mouvement populaire contre le régime ; dénonçant le fait de la hausse des prix, et il y avait des autres protestataires qui a accusé le gouvernement de donner la permission de battre les manifestants et les agresser.

Les manifestations au deuxième jour ont le même scenario que le jour avant; les forces de sécurité ont utilisé encore le gaz lacrymogène et les balles sauf que le nombre de manifestants est beaucoup plus que le premier jour.

Le troisième jour

Les protestations ont augmenté car les autorités ont refusé de répondre aux demandes des manifestants; au lieu de cela, ils ont été confrontés et dispersée forcement en utilisant plusieurs armes, en particulier la baton et le gaz lacrymogène. Les protestations ont été concentrées cette fois à Atbara, Omdurman et Kordofan du Nord. Selon les informations, la police a tué au moins un manifestant dans la ville d'Atbara.

Les autorités ont suspendu les études dans toutes les universités ainsi que les écoles primaires et secondaires au capitale Khartoum ville indéfiniment, comme un conséquent de l'inclusivité et augmentation des protestations. Un état d'urgence a été déclarée en imposant un couvre-feu de 18 heures à 6 heures du matin dans certains États. Des centaines de personnes dans la ville de Rabak, la capitale de l'état du Nil blanc, scandaient des slogans dénonçant les politiques gouvernementales, tandis que d'autres scandaient le fameux slogan qui a émergé au début de 2011 pendant le Printemps arabe: le peuple veut renverser le régime. En contrepartie, un certain nombre de jeunes en colère ont mis le feu à un groupe d'institutions gouvernementales et privées, y compris le siège du parti du Congrès national .

En revanche et alors que les soudanaise étaient plein de colère, le porte-parole du gouvernement Bishara Juma a déclaré: « des manifestations pacifiques / non violente ont déraillé et ont été transformées par des infiltrés en acte de sabotage ciblant des institutions publiques et privées à être et détruit, et de brûler d'un le siège de la police» « Les forces de police et de sécurité ont traité les manifestants de manière civilisée sans s'y opposer» Cependant, certaines sources de presse – dont BBC Arabic – ont indiqué qu'au moins huit personnes ont été tuées depuis le début des manifestations il y a trois jours.

Le quatrième jour

Les protestations se sont poursuivies pour la quatrième journée consécutive, incluant un plus grand nombre de villes par rapport aux trois jours précédents. Le jour a également fortement marqué les affrontements entre les manifestants d'une part et les forces de sécurité de l'autre. Quelques sources de presse ont rapporté que dix manifestants ont été tués en échange de les avoir brûlées le siège du parti au pouvoir dans un nombre de villes, en particulier à Al-Rahd.

Le gouvernement a réagi à tout cela en arrêtant plusieurs leaders de l'opposition à Omdurman et en tuant au moins cinq personnes en un jour. Selon le directeur du service de sécurité soudanais Salah Gosh, qui blâmait les « rebelles avec des liens vers Israël» ^[5], le même blâme que le régime syrien représente par Bachar Al-Assad a jeté sur Les manifestantes d'Alep pendant les débuts de la révolution syrienne . De l'autre côté, le chef du parti nationaliste d'opposition Umma, Sadiq al-Mahdi, a dévoilé lors d'une conférence de presse que le nombre de morts a atteint 22 et que «des mouvements pacifiques sont légalement licites, justifiés par la dégradation des conditions de vie» en plus il a condamné la répression armée des forces de sécurité contre le peuple rebelle.

Les slogans

Le slogan "Tasgot bas" ou "تسقط بس" en Arabe, traduit en Français a « chute, chute » (du régime) est le slogan le plus célèbre des manifestations soudanaises de Décembre 2018 ^[6]; le terme "Tasgot bas" explique l’espérance de peuple de renversement du gouvernement soudanais. L'expression se compose de deux mots: ‘’Tasgot’’ chute de régime Soudanais, et "bas" signifie "c'est tout". Le hashtag "Tasgot bas" est apparu sur les médias le 22 décembre 2018 et s’est propagé rapidement sur Twitter et Facebook. Le slogan est rapidement transformé à un Symbole révolutionnaire. Les manifestants on écrit le slogan en lettres arabes avec des bidons de gaz lacrymogène vides, des briques, et même sur la neige par les Soudanais en Europe.

Les manifestants également répétaient "liberté, paix et justice", en plus au slogan «le peuple veut renverser le régime» utilisé dans les révolutions du «Printemps arabe». Et pour le Al Bashir, le slogan "Vous êtes raciste et arrogant, nous sommes tous Darfour" est répété.^[7]

Les victimes

Plus que quarante manifestants étaient tues pendent les contestations de Décembre 2018-2019 selon Human Rights Watch et Amnesty International ^[8], ^[9], ^[10],^[11].

Les reactions

Position des Nations Unies

Le Haut-commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme Michelle Bachelet s’est exprimé sur l’utilisation de force contre les manifestants par les forces de sécurité Soudanaise, s'est dite "très préoccupée par l’usage excessif de la force, y compris l'usage de balles réelles, Une réponse répressive ne peut qu'aggraver les griefs" ^[12].

Qatar

L'agence de presse nationale soudanaise a assure que L'émir du Qatar, Tamim bin Hammad, a déclaré son soutien à Omar al-Bashir et la solidarité de son pays avec le Soudan selon par un appel téléphonique 3 jours après l’éclat des manifestations antigouvernementales. Doha était la première destination du président soudanais à l’étranger depuis le début des manifestations, pour discuter avec l’émir du Qatar les relations entre les deux pays et la situation au Soudan, l’émir de Qatar a confirmé son soutien au régime, sans annoncer aucun aide financière ^[13][14].

Egypte

Le ministre des Affaires étrangères Egyptien Sameh Shoukry est le premier responsable arabe à annoncer son soutien au gouvernement soudanais. "L'Egypte est convaincue que le Soudan va surmonter la situation actuelle" a annoncé Shoukry, "l'Egypte est toujours prête à soutenir le Soudan et les capacités du peuple soudanais conformément à la vision et aux politiques du gouvernement soudanais ", a-t-il ajouté ^[15]. Al-Bashir a visité l’Egypte juste après sa visite au Qatar, le dirigeant Soudanais a été reçu par Abdel Fattah al-Sissi lors d’une conférence de presse. L’Egypte a joigné Qatar à soutenir Omar el-Béchir face aux manifestations ^[16]

Arabie saoudite

Le roi Salman d’Arabie saoudite a indiqué que la sécurité de Soudan est indispensable pour le royaume. Pour cela, il a envoyé une délégation diplomatique réclamant la stabilité des situations au Soudan.

References

Les Manifestations Soudanaises de 19 Décembre 2018

• Resolvable space
• Resolv.conf
• Resolvconf
• Resolve
• Resolved
• Resolved (film)
• Resolve (Lagwagon album)
• Resolven
• Resolven RFC
• Resolvent
• Resolvent formalism
• Resolvent kernel
• Resolvent operator
• Resolvent set
• Resolve (One Tree Hill episode)
• Resolver (DNS)
• Resolver (Shinhwa Album)
• Resolve (song)
• Resolve Uganda
• Resolving
• Resolving Power
• Resolving power (optics)
• Resolving thyroiditis
• Resonable Doubt
• Resona Holdings